Seconde prove di matematica
19 Gennaio 2019Seconde prove
19 Gennaio 2019
ESAME DI STATO 1999 – LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Composizione in: LINGUA STRANIERA
(Testo valevole per tutte le lingue)
I
La letteratura si è spesso ispirata al mondo degli animali, ai quali sono stati attribuiti vizi e virtù degli uomini. Sviluppa questo argomento con riferimenti ad autori a te noti, italiani o stranieri.
II
L’ecologia è diventata sempre più importante nella società d’oggi, in cui l’inquinamento minaccia pericolosamente l’ambiente. Commenta questa definizione di John Muir: “Prendi una cosa qualsiasi e scoprirai che è legata a tutto il resto dell’universo. Qualunque cosa tocchi, lo fai a tuo rischio e pericolo”.
III
Da un rapporto annuale dell’EITO (European information technology observatory) è emersa un’Italia a due velocità, molto avanzata nel campo delle telecomunicazioni, fatto soprattutto di telefoni cellulari, ma ancora lontana dal resto d’Europa per quanto riguarda l’adeguamento della sua infrastruttura informatica.
Analizza questo fenomeno, illustrandone le possibili conseguenze.
Il candidato interno è tenuto a svolgere nella lingua straniera da lui scelta la prova di composizione su uno dei temi suindicati, oppure la prova di comprensio
ne e produzione su uno dei testi proposti per ciascuna lingua qui allegati. Il candidato esterno dovrà invece svolgere soltanto la prova di composizione.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’consentito soltanto l’uso dei dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO LETTERARIO – LINGUA FRANCESE
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
SOUVENIRS D’ENFANCE
J’admirais qu’on fît surgir dans le monde quelque chose de réel et de neuf. Je ne pouvais m’y essayer qu’en un seul domaine: la littérature. Dessiner pour moi c’était copier et je m’y attachais d’autant moins que j’y réussissais mal; je réagissais à l’ensemble d’un objet sans prêter attention au détail de ma perception; j’échouai toujours à reproduire la plus simple fleur. En revanche, je savais me servir du langage, et puisqu’il exprimait la substance des choses, il les éclarait. J’avais spontanément tendance à raconter tout ce qui m’arrivait; je parlais beaucoup, j’écrivais volontiers. Si je relatais dans une rédaction un épisode de ma vie, il échappait à l’oubli, il intéressait d’autres gens, il était définitivement sauvé. J’aimais aussi inventer des histoires; dans la mesure où elles s’inspiraient de mon expérience, elles la justifiaient; en un sens elles ne servaient à rien, mais elles étaient uniques, irremplaçables, elles existaient, et j’étais fière de les avoir tirées du néant.
J’accordai donc toujours beaucoup de soin à mes “compositions françaises” si bien que j’en recopiais quelques- unes sur le “livre d’or”. En juillet la perspective des vacances me permettait de dire au revoir sans regret au cours. Cependant, de retour à Paris, j’attendais fiévreusement la rentrée des classes. Je m’asseyais dans le fauteuil de cuir, à côté de la bibliothèque en poirier noirci, je faisais craquer entre mes mains les livres neufs, je respirais leur odeur, je regardais les images, les cartes, je parcourais une page d’histoire; j’aurais voulu en un seul coup d’oeil animer tous les personnages, tous les paysages, cachés dans l’ombre des feuilles noires et blanches. Autant que leur sourde présence, l’empire que j’avais sur eux me grisait.
En dehors de mes études la lecture restait la grande affaire de ma vie. Maman se fournissait à la bibliothèque Cardinale, place Saint – Sulpice. Une table chargée de revues et de magazines occupait le milieu d’une grande salle d’où rayonnaient des corridors tapissés de livres; les clients avaient le droit de s’y promener. J’éprouvai une des plus grandes joies de mon enfance le jour où ma mère m’annonça qu’elle m’offrait un abonnement personnel-. Je me plantai devant le panneau réservé aux “Ouvrages pour la jeunesse” et où s’alignaient des centaines de volumes. “Tout cela est à moi!” me dis-je éperdue. La réalité dépassait le plus ambitieux de mes rêves, devant moi s’ouvrait le paradis, jusqu’alors inconnu, de l’abondance. Je rapportai à la maison un catalogue; aidée par mes parents, je fis un choix parmi les ouvrages marqués J et je dressai des listes chaque semaine. J’hésitai délicieusement entre de multiples convoitises. En outre ma mère m’emmenait quelquefois dans un petit magasin proche du cours, acheter des romans anglais; je les déchiffrais lentement. Je prenais grand plaisir à soulever, à l’aide d’un dictionnaire, le voile opaque des mots: descriptions et récits retenaient un peu de leur mystère; je leur trouvais plus de charme que si je les avais lus en français.
(Simone de Beauvoir – Mémoires d’une jeune fille rangée)
Compréhension
l) Répondez aux questions suivantes:
– Pourquoi Simone de Beauvoir aimait-elle la littérature?
– Quelle était son attitude à l’égard du dessin?
– Pourquoi accordait-elle beaucoup de soin à ses “compositions françaises”?
– Quelles étaient ses sensations quand elle prenait des livres?
– Qu’est-ce qu’elle aurait voulu faire avec les personnages des livres?
– Quelle fut l’une des plus grandes joies de son enfance?
– Quel était son plaisir quand elle lisait des romans anglais?
2) Résumez le texte en quelques lignes.
Production
Partagez-vous l’enthousiasme de Simone de Beauvoir?
Parlez de votre attitude à l’égard des livres et des bibliothèques et dites ce qu’il faudrait faire pour encourager l’amour pour la lecture.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO DI ATTUALITÀ – LINGUA FRANCESE
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Informatique en progrès et atmosphère tendue à la Bibliothèque nationale de France
Ce n’est rien de dire que l’ouverture, le 9 octobre 1998, de la Bibliothèque nationale de France (BNF) ne s’est pas déroulée dans l’ordre et l’harmonie: système informatique bloqué, lecteurs exaspérés, personnel traumatisé, direction désemparée, dix-huit jours de grève. Trois bons mois plus tard, le public commence à se familiariser avec les tours glaciales de Tolbiac; il apprend à apprivoiser ses machines rétives et, surtout, s’arme de patience.
La bibliothèque du haut-de-jardin, en libre acc’ès, destinée au plus grand nombre, est désormais saturée le week-end. Comme on pouvait s’y attendre, elle est surtout fréquentée par des étudiants. Le rez-de-jardin, réservé aux chercheurs (plus de dix mill’ions de volumes), reçoit en moyenne 1000 lecteurs par jour, un chiffre supérieur à celui de l’ancienne BN. Pourtant les problèmes sont loin d’être tous réglés.
Seul le déménagement des collections s’est achevé sans encombre, le 17 décembre, avec quelques jours d’avance. Côté informatique, le catalogue général (sept mill’ions de notices) n’a pas connu d’incidents majeurs. Mais, pour l’instant, il ne permet pas les recherches croisées (qui devraient être opérationnelles fin mars) et ne peut être consulté à distance. Les syndicats estiment que certains documents en stock restent introuvables à l’écran. (…)
En dépit de ces aléas, “jour après jour, le système s’amél’iore, affirme François Stasse, directeur général de la BNF. Les nouveaux problèmes qui surgissent encore çà et là sont dus à la montée en charge. Ce sont des problèmes d’exploitation, qui ne sont pas liés au logiciel lui-même”. Est-ce plus rassurant? (…)
Une des revendications du personnel en grève avait été la constitution de commissions chargées de pointer les dysfonctionnements de l’établissement: de la signalétique à l’organisation du circuit des documents en passant par l’hygiène, les conditions de travail et le statut des vacataires. Ces neuf commissions ont remis un rapport le 31 janvier. Un inspecteur général des bibliothèques, Albert Poirot, en fait actuellement la synthèse pour la Rue de Valois. Certaines des demandes ont déjà été prises en compte comme l’installation de chauffages complémentaires.
Un architecte, Jean-Luc Bichet, a été nommé par la direction pour envisager certaines amél’iorations de l’architecture intérieure. Mais il ne pourra ni raccourcir les distances, ni modifier la place des magasins. Quant aux recommandations des groupes de travail, la direction ne pourra les avaliser que dans la mesure de ses possibilités budgétaires.
Un autre débat important a été repoussé sine die, sans être réglé pour autant: celui de la fermeture du l’undi. Le rez-de-jardin devrait être fermé le dimanche et ouvert le l’undi tandis que le haut-de-jardin, ouvert le dimanche, est fermé le l’undi. Ainsi la BNF serait, avec un décrochage, ouverte sept jours sur sept.
Depuis les grèves d’octobre, les salles destinées à la recherche sont “provisoirement” closes le l’undi. Cette mesure aurait dû être levée en partie le 1er février et définitivement supprimée à partir du 30 juin, contre l’avis des syndicats, et notamment de la CFDT, qui veulent toujours la fermeture du haut et du rez-de-jardin, le l’undi, au nom de l’unicité de la bibliothèque et du personnel, mais aussi pour permettre la maintenance du bâtiment et la formation du personnel dans de bonnes conditions. Devant l’ampleur des difficultés qui subsistent, François Stasse a demandé, le 15 janvier, lors d’une réunion d’étape qui rassemblait syndicats et direction au ministère de la culture, de différer cette ouverture. Reste que celle-ci est réclamée avec insistance par des lecteurs, qui ont fait circuler une pétition, signée par des chercheurs comme Pierre Nora ou Emmanuel Le Roy Ladurie ou leurs représentants au conseil d’administration de la BNF. L’atmosphère reste donc tendue à la BNF. “On marche sur des ?ufs”, constate Alain Veinstein, directeur de la communication de la BNF.
(Emmanuel de Roux, “Le Monde”, 3/2/1999)
Compréhension
– Que signifie l’expression “On marche sur des ?ufs”?
– Pourquoi les syndicats veulent-ils la fermeture du l’undi?
– Y a-t-il encore des problèmes du point de vue de l’informatique?
– Que réclament les lecteurs?
– L’ouverture de la BNF s’est-elle déroulée dans les meilleures conditions?
– Qu’est-ce que le rez-de-jardin?
– Pourquoi le personnel s’est-il mis en grève?
– Résumez le texte en quelques lignes.
Production
Quelle est l’importance culturelle et sociale d’une institution comme la BNF?
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO SOCIO-ECONOMICO – LINGUA FRANCESE
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Chantiers navals du Havre: l’impossible adieu
Dans le port du Havre, le premier des trois chimiquiers qui ont fait “tomber” les Ateliers et Chantiers du Havre (ACH), commence à laisser entrevoir son immense silhouette de 173 m. de long et de 30 mètres de large. Une présence qui ne fait que raviver la colère des 700 salariés des ACH face à la décision du gouvernement de cesser toute aide au chantier. Et donc de le fermer. Est-ce le début d’une décadence industrielle tristement vécue par le Nord ou la Lorraine? Pas si sûr. Car Le Havre intéresse d’autres industriels. Et les pouvoirs publics viennent de lancer le grand projet Port 2000, qui devrait créer 2500 emplois. En tout, 20 milliards de francs seront investis dans la région. Aujourd’hui déjà, le chômage, bien qu’au-dessus de la moyenne nationale avec 15,7% au 3e trimestre 1998, ne cesse de baisser.
Parallèlement, la municipalité prépare la ville à un grand lifting avec la revalorisation des friches industrielles, la création d’une nouvelle entrée de ville, d’un centre commercial, d’un musée.
Assurément, Le Havre ne sera plus la même ville en 2003. Mais avec ou sans la construction navale? Face à ce tableau optimiste, il y a les ACH: 700 emplois directs et 1500 emplois indirects en jeu. Alors que 200 intérimaires ont cessé leur activité et que 50 parmi les 250 salariés en contrat de fin de chantier ont déjà reçu leurs lettres de licenciement, les élus continuent de se battre et d’attiser le feu en laissant entendre qu’ils ont des contacts avec des repreneurs.
“Nous ne donnons pas d’espoir, la balle est dans le camp du gouvernement, se justifie Antoine Ruffenacht, le maire du Havre. Nous souhaitons qu’il réexamine à nouveau le dossier dans la perspective d’une reprise”. Le Havre “politique” a réussi le tour de force de faire l’unanimité dans ses rangs pour le maintien des ACH. Un courrier en ce sens a d’ailleurs été envoyé, début février, à Lionel Jospin par l’ensemble des élus locaux. Car leur combat va au-delà des emplois.
Les élus havrais sont persuadés que même si tous les salariés des ACH étaient recasés, il faudrait garder le chantier. Tous sont d’accord: la construction maritime a un avenir, les commandes potentielles existent. Les salariés de la navale, eux, pensent qu’ils vont être réintégrés dans la construction des nouvelles usines, devant s’étaler sur trois ans. Mais après… “La moyenne d’âge des salariés se situe entre 40 et 50 ans. Ils ont travaillé toute leur vie sur le chantier, s’inquiète Jean-Louis Jegaden, syndacaliste. Une reconversion dans les métiers liés à Port 2000 ne paraît pas évidente.” Pour les politiques, la situation tient du funambulisme: trouver une solution aux ACH, certes, mais comment éviter de donner l’image négative d’une ville qui s’accroche à son passé? “La construction navale peut être synonyme de technologie et pas forcément une activité du passé” insiste Antoine Ruffenacht. Mais le poids du passé est indéniable. Les ACH sont un rappel permanent de l’époque où la ville était la porte d’entrée de l’Amérique, lorsque les ménagères utilisaient du linge ramené des Etat-Unis par leurs maris, matelots sur le Normandie. Les pêcheurs regrettent que la population ne se sente plus concernée par ce qui se passe au port. Mais “on ne vit pas de symboles”, reconnaissent-ils.
Maryvonne Boulet-Lequitte (Le Figaro-économie, 4 Mars 1999)
Compréhension
1) Répondez aux questions suivantes:
– Quelle est la présence qui ravive la colère des 700 salariés des ACH?
– Quelle est la décision du gouvernement?
– Quelle est l’importance du Projet Port 2000?
– Pourquoi les élus continuent-ils de se battre?
– Quelle est l’image négative de la ville qu’il faut éviter?
– Pourquoi faut-il garder le chantier?
– Quelle était autrefois l’importance du Havre?
2) Résumez le texte en quelques lignes
Production
Parlez de l’importance du passé et du présent, des traditions et des nouvelles technologies dans l’économie d’une ville et dites si vous considérez possible leur conciliation
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
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CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO LETTERARIO – LINGUA INGLESE
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
I AM always drawn back to places where I have lived, the houses and their neighbourhoods. For instance, there is a brownstone in the East Seventies where, during the early years of the war, I had my first New York apartment. It was one room crowded with attic furniture, a sofa and fat chairs upholstered in that itchy, particular red velvet that one associates with hot days on a train. The walls were stucco, and a colour rather like tobacco-spit. Everywhere, in the bathroom too, there were prints of Roman ruins freckled brown with age. The single window looked out on a fire escape. Even so, my spirits heightened whenever I felt in my pocket the key to this apartment; with all its gloom, it still was a place of my own, the first, and my books were there, and jars of pencils to sharpen, everything I needed, so I felt, to become the writer I wanted to be.
It never occurred to me in those days to write about Holly Golightly, and probably it would not now except for a conversation I had with Joe Bell that set the whole memory of her in motion again.
Holly Golightly had been a tenant in the old brown-stone; she’d occupied the apartment below mine. As for Joe Bell, he ran a bar around the corner on Lexington-Avenue; he still does. Both Holly and I used to go there six, seven times a day, not for a drink, not always, but to make telephone calls: during the war a private telephone was hard to come by. Moreover, Joe Bell was good about taking messages, which in Holly’s case was no small favour, for she had a tremendous many.
Of course this was a long time ago, and until last week I hadn’t seen Joe Bell in several years. Off and on we’d kept in touch, and occasionally I’d stopped by his bar when passing through the neighbourhood; but actually we’d never been strong friends except in as much as we were both friends of Holly Golightly. Joe Bell hasn’t an easy nature, he admits it himself, he says it’s because he’s a bachelor and has a sour stomach. Anyone who knows him will tell you he’s a hard man to talk to. Impossible if you don’t share his fixations, of which Holly is one. Some others are: ice hockey, Weimaraner dogs, Our Gal Sunday (a soap serial he has listened to for fifteen years), and Gilbert and Sullivan – he claims to be related to one or the other, I can’t remember which.
And so when, late last Tuesday afternoon, the telephone rang and I heard ‘Joe Bell here,’ I knew it must be about Holly. He didn’t say so, just: ‘Can you rattle right over here? It’s important,’ and there was a croak of excitement in his froggy voice.
(TRUMAN CAPOTE, Breakfast at Tiffany’s – Penguin Books, pp. 9-10)
Answer the following questions:
1. Where is the narrator’s apartment?
2. Give a full description of it.
3. List the colours and the images employed to describe it.
4. Why is it considered to be a gloomy place?
5. Why is its owner happy after all?
6. Describe each of the characters mentioned in the text.
7. What use was made of Joe Bell’s telephone?
8. Why is Holly Golightly an important character in the text?
SUMMARIZE the content of the passage.
COMPOSITION: Speak about a bar, a pub, a club, an association or an institution that is the meeting point for you and your friends. Alternatively, invent a completion of the story starting from Joe Bell’s telephone call.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO DI ATTUALITÀ – LINGUA INGLESE
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Worrying Statistix
A CULTURE is threatened by an invasion from the most powerful nation on earth, and the only resistance comes from a pocket of indomitable Gauls. This is the plot of “Astérix”, the most expensive French film ever made. It is also the story of the European film industry. “Astérix”, which cost just under $50m and opened in France on February 3rd, is the last, best hope for French cinema, which, despite massive protection, has failed to repel the ceaseless advance of American releases.
French films, which get most of the country’s FFr3 bill’ion ($517m) subsidy to the audio-visual industries, have reckoned for many years to take between a third and 40% of the domestic market. But, according to the Centre National du Cinéma in Paris, their share has fallen over the past two years, dropping to 27% in 1998. “Titanic” was partly responsible, but French film-makers cannot blame all their problems on Leonardo DiCaprio. Although ticket sales overall shot up last year, French films sold 10% fewer tickets than the year before.
French cinema is not the only victim. American films swept the globe last year. Despite economic difficulties in Asia and Latin America, American movies’ box-office receipts were up by 17%. Nor was this just a “Titanic” wave. According to the list of 1998’s most successful movies put together by Variety magazine, American films took the top 39 places: Britain’s “The Full Monty” came in at number 40. In the previous year, there were four non-American films in the top 25. German films took less than 10% of their domestic market, down from 15% in 1996 and 17% in 1997. In Britain last year, according to figures put together by Screen Finance, an industry newsletter, British movies’ market share fell by half, down from 27% in 1997.
In another sense, though, European cinema is more buoyant now than it has been for a long time. Over the past four years, multiplex cinemas have spread from Britain across the continent. As happened in Britain, where ticket sales have risen threefold over the past 12 years, cinema attendance has leapt.
However multiplexes, it seems, tend to show more American movies. This has surprised people in the industry, who expected that the extra screens would cater to those who like art films and other European specialities. But Sylvie Perras, a film-industry adviser to the French culture ministry, thinks that, in the event, multiplexes have brought a whiff of America with them: “Remember, this is the first time we have had popcorn in France.”
Along with the multiplexes has come the return of the blockbuster. Hollywood increasingly spends its money on “event” movies – such as last year’s “Titanic” and this year’s forthcoming “Star Wars” sequel. These movies are made with budgets beyond the Europeans’ wildest dreams. Some, such as “Godzilla”, fail; but the ones that work pull in audiences of a size nobody has seen for two decades.
Because American movies are working so well abroad, the international box-office accounts for more of the studios’ total receipts. Last year, foreign takings were almost exactly level with domestic ones: 15 years ago, they were half as big. This shift has pushed the studios towards spending more money selling their films abroad, and is also encouraging them to make more of those rootless “Titanic”-style movies, free of geography, culture or humour, that play as well in Prague as in Peoria.
So what is Europe going to do, in the face of this invasion? Not a lot. Only in France, that bastion of doughty resistance, is the government fighting back. Catherine Trautmann, the culture minister, has recently announced plans to increase the subsidy to distribution by nearly 50%, and to introduce new rules to limit the multiplexes’ freedom and thus protect local films. Unlike Astérix, though, Ms Trautmann has no magic potion. Il testo è tratto da “European film industry. Worrying statistics”
in THE ECONOMIST, February 6th, 1999, pag. 73.
Answer the following questions:
1. Tell the plot of the French film “Astérix”.
2. What is wrong with French cinema and with European cinema in general?
3. How is French cinema protected by the State? Describe the French culture minister’s policy in favour of French movies.
4. Why are American movies a threat to European cinema? In particular, what is the American film “Titanic” responsible for?
5. List the world’s most successful films in 1998 according to a movie magazine.
6. How do multiplex cinemas influence cinema attendance?
7. To what films does the term “blockbuster” apply?
8. Find out and interpret all that is said about the film “Titanic” in the text.
SUMMARIZE the content of the passage.
COMPOSITION: Art films seem to be European specialities, whereas American film makers dedicate budgets to event movies and “blockbusters” beyond the Europeans’ wildest dreams. Discuss.
Alternatively, you can discuss an Italian film that has recently been a success in this country and all over the world.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO SOCIO-ECONOMICO – LINGUA INGLESE
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Industry gets religion
INNOVATION has become the industrial religion of the late 20th century. Business sees it as the key to increasing profits and market share. Governments automatically reach for it when trying to fix the economy. Around the world, the rhetoric of innovation has replaced the post-war language of welfare economics. It is the new theology that unites the left and the right of politics, says Gregory Daines of Cambridge University.
But what precisely constitutes innovation is hard to say, let alone measure. It is usually thought of as the creation of a better product or process. But it could just as easily be the substitution of a cheaper material in an existing product, or a better way of marketing, distributing or supporting a product or service.
Entrepreneurs – the most successful, though not the only, practitioners of innovation – rarely stop to examine how they do it. Most of them simply get on with the job of creating value by exploiting some form of change – be it in technology, materials, prices, taxation, demographics, or even geopolitics. They thereby generate new demand, or a new way of exploiting an existing market. “The entrepreneur”, said Jean-Baptiste Say, the French economist who coined the word around 1800, “shifts economic resources out of an area of lower and into an area of higher productivity and greater yield.” Two centuries later, economists are still struggling to understand this most mysterious part of the wealth-creation process.
One way to describe innovation is to explain what it is not. The husband and wife who open a sandwich bar opposite a new office block may be gambling their life savings, but they are not innovating. The Japanese electronics firm that launches a niftier video camera is merely cramming its distribution channels in a bid to push competitors’ goods off the shelves. The drug firm that makes a generic version of a blockbuster ulcer pill is simply cashing in on the expiry of a rival’s patents. All these are strictly business ventures, not innovations.
Innovations not only break the mould, they also yield far better returns than ordinary business ventures. One American study found that the overall rate of return for some 17 successful innovations made in the 1970S averaged 56%. Compare that with the 16% average return on investment for all American business over the past 30 years. No surprise, then, that for all the riskiness of their endeavours, innovators with good ideas and track records attract investment like flowers attract bees.
To appreciate the difference between opening yet another hamburger joint and innovating in earnest, consider what McDonald’s did. It standardised the product, designed entirely new cooking procedures and trained its people meticulously, thereby giving customers something they had never had before – a high-quality hamburger sandwich, delivered with the speed of just-in-time preparation, in hygienic surroundings, at a knockdown price. McDonald’s created not simply a new product, but a whole new market category. This was innovation of the highest order.
“A Survey of Innovation and Industry” in THE ECONOMIST, February 20th, 1999
Answer the following questions
1. Why has the word “innovation” become so fashionable nowadays?
2. What do people think innovation is?
3. What is entrepreneurs’ attitude to innovation?
4. What term was coined by Jean-Baptiste Say in 1800?
5. Re-write the expression “push competitors’ goods off the shelves” in your own words.
6. List examples of what innovation is not.
7. List examples of what it is.
8. Why is McDonald’s an example of innovation?
Summarize the content of the passage.
Composition:
McDonald’s and videocassette recorders are two examples of successful innovation.
Speak about your experience of fast food restaurants and the use of new technologies in the home.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO LETTERARIO – LINGUA SPAGNOLA
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
El agua y yo
Si le gusta remar, detrás del bosque están el río y la barca -dijo la mujer de mi amigo. Me habían invitado a pasar el fin de semana en su finca y todo el mundo sabía lo que me gustaba el agua.
Recuerdo a mamá explicando, con una especie de angustiosa precipitación, que desde muy pequeño cuando me bañaban me reía; y cuando me escurrían la esponja por encima abría la boca como un pececillo. La primera sensación viva de la lluvia la tuve en el chalet donde pasábamos los veranos. Una noche se puso a llover intensamente y yo me levanté para ver el agua. La oscuridad me intimidaba, pero salí a la terraza, me tendí en el suelo, la lluvia me caía en la boca, yo bebía, y se me pasó el miedo. Aquella agua era la misma que llenaba las fuentes, pensaba. Y todos los días hurgaba con una caña en la fuente para que se le terminase pronto el agua y pidiese más lluvia a las nubes.
Aprendí a nadar en el río. En medio había una isla de arena, pequeña; me tendía en ella dejaba las piernas dentro del agua, cerraba los ojos, y jugaba a dar la vuelta al mundo llevado por el agua que corría.
Mi sed no puede explicarse. Un delirio por sentir en las encías el frescor del agua, un delirio por sentir el agua bajar por la garganta. Un vaso lleno de agua, la mejilla bajo el agua, el baño… No me gusta el agua del mar. Mi agua es el agua dulce, el agua de primavera, el agua con juncos, con sombras de hojas en las orillas, el agua poco profunda, transparente, con guijarros en el fondo. El agua que corre.
El agua salada te ataca; El agua dulce te toma. Los sueños de agua dulce nunca se terminan.
(Merc’è Rodoreda: El río y la barca)
1. El protagonista se identifica con el agua principalmente cuando la paladea, cuando la bebe. Justifique si es verdadera o falsa esta afirmación.
2. Explique con otras palabras la expresión “la oscuridad me intimidaba”.
3. ÿ Quién tenía que pedir más lluvia a las nubes?
4. El protagonista, de niño, era bastante solitario. Justifique esta afirmación.
5. Sustituya los elementos en cursiva por los adjetivos correspondientes: Isla de arena; agua que corría; frescor del agua, agua del mar; agua de primavera, agua con sombras.
6. Señale los adjetivos que encuentre en el texto referidos al agua.
7. Fijese en los tiempos verbales que aparecen en los párrafos 2° y 3° y diga de qué tipo de escrito son característicos.
8. Explique qué querrá decir la autora con la frase “Los sueños de agua dulce no terminan nunca”.
9. Señale las características que indican que este texto es literario.
10. Resuma brevemente el texto.
Producción:
Exponga sus ideas sobre la natación como deporte y como entretenimiento.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO DI ATTUALITÀ – LINGUA SPAGNOLA
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
ÿ Víctimas o verdugos?
La polémica sobre los perros agresivos pone de actualidad la falta de legislación y la conducta irresponsable de algunos dueños.
Les asisten muchos derechos, pero también deben asumir sus deberes. Viven dentro de la sociedad y, por tanto, deben respetar las reglas del juego. Sin embargo, al ser irracionales, los responsables de su conducta ante terceros son sus dueños. Desgraciados sucesos, como los acaecidos recientemente, en los que, además de otras muertes, hay que incluir la de un niño de cuatro años, nos refrescan la memoria. La escalada de los ataques de perros a personas va en relación directa con el aumento de ciertas razas de perros en nuestro pais. La moda, la irresponsabilidad de ciertas personas, el talante de algunos dueños de estos perros, el vacío legal y el poco interés que se ha puesto en aplicar una sencilla ley que obliga a sacar a los perros a la calle atados y con bozal, tienen la culpa de lo que ha sucedido. Cabría preguntarse qué hacen en España ciertos perros que fueron creados genéticamente para matar animales de gran tamaño o para pelear entre ellos. La memoria genética no se borra totalmente con un adiestramiento. Está ahí y nadie asegura que el animal no se comporte como se esperaba que actuase cuando fue diseñado.
Y habría que preguntarse también el porqué de la proliferación de perros como el dogo argentino o el pit-bull, que ni siquiera está reconocido oficialmente, cuando hay unas 200 razas reconocidas, y todo tipo de mestizajes que en su mayoría no dan problemas ni a sus dueños ni al resto de la sociedad. Mientras se encuentra la respuesta y las autoridades toman cartas en el asunto, se puede hacer un primer análisis con los datos de los que se disponen.
Aunque algunas de estas razas viven con familias normales y hacen vida tranquila, algunos expertos opinan que los genes terminan dando la cara. Éste es el caso del veterinario Suela, que, por otro lado, no está totalmente de acuerdo con la lista de perros peligrosos que ha elaborado la Comunidad de Madrid. “Se han incluido razas como el presa canario o el boxer, que es muy inusual que den problemas. Es más, concretamente el boxer se recomienda para los niños por su buen carácter. El instinto sexual es la base de su agresividad; al menor problema que dé cualquier ejemplar, hay que castrarlo. Es una verdadera pena perder la genética de estas razas. Simplemente hay que mantenerlos donde y para lo que fueron creados”.
Aurora Siguero. El Pais Semanal. 28/02/99
Comprensión
1. Sustituya las expresiones del texto “…deben respetar las reglas del juego” y “nos refrescan la memoria” por otras de análogo significado.
2. ÿ Quiénes son los responsables legales de las conductas de los perros y qué deben hacer para evitar que ocurra una desgracia?
3. ÿ Cuáles son las causas, según el texto, del aumento de los ataques de perros a personas?
4. ÿ Por qué cree que se han creado tantas razas de perros de lucha?
5. La memoria genética se borra con un adiestramiento. Diga si es verdadera o falsa esta afirmación y justifique su respuesta.
6. ÿ Qué quiere decir la expresión: “los genes terminan dando la cara”?
Explíquela y póngala en relación con la pregunta anterior
7. ÿ Qué preguntas se plantea el autor de este artículo para las cuales no encuentra explicación?
8. ÿ En qué consiste esa “sencilla ley” que podría evitar desgracias a las personas que se ven atacadas por un perro de lucha?
9. Explique la aparente contradicción que existe entre la noticia de la muerte de un niño de cuatro años atacado por un perro y la recomendación de algunos sicólogos de que los niños tengan perros de compañía.
10. Resuma brevemente el texto
Producción
En el texto se trata el tema de la agresividad de ciertas razas de perros creadas artificialmente.
Exponga sus ideas sobre la manipulación genetica en general y, en especial, sobre la creación de razas de perro de ataque.
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.
X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO SOCIO-ECONOMICO – LINGUA SPAGNOLA
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Uno para todos
Para evitar la acumulación de mandos a distancia, los mandos universales permiten controlar hasta 12 equipos a la vez.
Cambiar de canal a golpe de mando a distancia se ha convertido en un deporte universal. El español medio, cuando está frente al televisor, suele hacerlo cada 12 minutos. En Estados Unidos son más radicales. Según un estudio de la cadena ABC, algunos norteamericanos compulsivos no duran más de 47 segundos con el mismo programa en pantalla. Y es que el mando a distancia se ha convertido en un objeto de culto y de deseo. En un símbolo de poder en el salón de casa. Pero se trata de un símbolo construido con botones de plástico y circuitos electrónicos que se puede estropear o perder en cualquier momento, y es entonces cuando surge el problema. Cuando surge este inconveniente existen tres alternativas: levantarse del sofá cada vez que se quiere cambiar de canal o bajar los anuncios (ésta es la peor opción), reponer el mando antiguo por otro exactamente igual o, lo que es todavía mejor, sustituirlo por un mando a distancia universal.
En efecto, con uno solo de estos mandos universales se pueden cambiar los canales de televisión, poner a grabar el vídeo o programar las canciones del equipo estéreo mientras ajustamos en el aire acondicionado la temperatura ideal. En el mercado se encuentran algunos mandos universales con capacidad para manejar hasta 12 electrodomésticos distintos.
Podríamos pensar que, con tantas funciones, estos mandos son muy complicados de programar. Nada más lejos de la realidad. Cada control remoto universal tiene un chip de memoria con los códigos de los principales equipos del mercado. Para poner en funcionamiento nuestro mando con cada electrodoméstico basta introducir un simple código de cifras que encontraremos en el libro de instrucciones. Así, antes de elegir el mando universal debemos comprobar que tiene una buena librería de códigos adaptada a los aparatos más corrientes. Concretamente que sea capaz de manejar los nuestros.
Suelen leer la mayor parte de los modelos, pero más vale prevenir que curar. Además, las mejores marcas de mandos universales incluyen un número de teléfono gratuito en el que nos indican paso a paso lo que se tiene que hacer si no terminamos de entender el libro de instrucciones.
Chema Lapuente. El país semanal. 28-02-99
Uno para todos Comprensión
1. Explique brevemente el contenido irónico de la frase: “Cambiar de canal a golpe de mando a distancia se ha convertido en un deporte universal”.
2. Los españoles cambian más de canal de televisión que los norteamericanos. Diga si es verdadera o falsa esta afirmación y justifique su respuesta.
3. ÿ Por qué la posesión del mando a distancia es un símbolo de poder en el salón de casa?
4. ÿ Qué puede hacerse cuando se estropea el mando a distancia según el texto?
5. Enumere ocho funciones de aparatos electrodomésticos que podría manejar con el mando universal (algunas están ya indicadas en el texto).
6. Estos mandos universales son muy difíciles de programar. Diga si es verdadera o falsa esta afirmación y justifique su respuesta.
7. ÿ Qué significa la frase: más vale prevenir que curar? Sustitúyala en el texto por otras palabras.
8. Sustituya con sinónimos las palabras en cursiva: “elegir el mando universal”, “debemos comprobar”, “los aparatos más corrientes”.
9. “Más vale prevenir que curar” es un refrán. Enuncie algún otro refrán español.
10. Resuma brevemente el texto.
Producción
Redacte un tema sobre los beneficios que puede reportar al hombre la aplicación de la tecnología en el ámbito doméstico.
Durata massima della prova: 6 ore.
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X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO LETTERARIO – LINGUA TEDESCA
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Ein neues Gesicht
In einem groÉen Land lebte einmal ein Kaufmann. Er kaufte allerhand Dinge, groÉe und kleine, und verkaufte sie wieder mit einem sehr guten Gewinn. Er kaufte Fabriken und Flüsse, Wälder und Stadtviertel, Bergwerke und Schiffe. Wenn Leute sonst nichts zu verkaufen hatten, kaufte er ihnen ihre Zeit ab, das heiÉt, er lieÉ sie gegen Lohn für sich arbeiten und kaufte so ihre Muskeln oder ihr Gehirn. Er kaufte den Griff ihrer Arme für sein laufendes Band, den Tritt ihrer FüÉe für seine Essen, ihre Zeichnungen, ihre Schrift in seine Kontobücher.
Er war ein sehr groÉer Kaufmann und wurde ein immer gröÉerer Kaufmann. Er war weit und breit sehr geachtet und wurde immer geachteter. Aber auf einmal bekam er eine arge Krankheit.
Eines Tages wollte er wieder einmal etwas kaufen, diesmal ein paar Zinngruben in Mexiko. Eigentlich wollte er sie nicht selber kaufen, sondern einige andere Leute sollten sie für ihn kaufen, damit er sie verkaufen konnte. Er wollte nämlich diese Leute betrügen.
Er verabredete sich mit ihnen in einem Bankhaus.
Dort verhandelten sie mehrere Stunden miteinander, indem sie dicke Zigarren rauchten und dazu Zahlen aufschrieben.
Der groÉe Kaufmann erzählte seinen Geschäftsfreunden, wieviel Geld sie bei diesem Geschäft verdienen konnten, und da er ein so geachteter Kaufmann war und nett und freundlich aussah, wie eben ein älterer, rosiger Kaufmann mit weiÉen Haaren und blanken Augen, glaubten sie ihm auch, wenigstens anfangs. Aber dann passierte etwas sehr Merkwürdiges. Er merkte plötzlich, daÉ die Herren ihn ganz eigentümlich ansahen, und dann rückten sie sogar ein wenig von ihm weg, während er sprach. Er sah an sich hinunter, ob an seinem Anzug etwas nicht in Ordnung war, aber sein Anzug war ganz in Ordnung. Er wuÉte gar nicht, was los war. Die Herren standen mit einem Mal auf, und jetzt sahen ihre Gesichter ordentlich erschrocken aus, und sie sahen deutlich ihn an, und zwar wie etwas Schreckliches, vor dem man Angst hat. Und doch sprach er nicht anders als sonst, nett und freundlich, wie ein groÉer, geachteter Kaufmann.
Warum also hörte ihm niemand mehr zu, und warum gingen sie denn ohne jede Entschuldigung einfach hinaus und lieÉen ihn sitzen? Denn das taten sie. Er stand ebenfalls auf, nahm seinen Hut und ging hinunter, um in sein Auto zu steigen. Da sah er noch, wie der Chauffeur furchtbar erschrak, als er ihn sah.
Zu Haus eilte er sogleich zu einem Spiegel. Da sah er etwas Schreckliches: Aus dem Spiegel entgegen blickte ihm das Gesicht eines Tigers. Er hatte ein neues Gesicht bekommen! Er sah aus wie ein Tiger!
Bert Brecht: Ges. Werke, Bd. 11 (suhrkamp 1967)
Textverständnis:
1. Die Hauptfigur der Geschichte ist ein Kaufmann. Was kauft er ein?
2. Was kauft er noch auÉer der üblichen Ware?
3. Beschreiben Sie den Kaufmann, indem Sie die äuÉeren Merkmale seiner Wesensart gegenüberstellen.
4. “Aber auf einmal bekam er eine arge Krankheit”. Um welche Art von Krankheit handelt es sich?
5. Was passiert an dem Tag, an dem er Zinngruben in Mexiko kauft?
6. Welche Veränderungen nehmen seine Geschäftspartner wahr und wie reagieren sie?
7. Wie löste sich das “Rätsel”?
8. Warum erhält der Kaufmann ausgerechnet das Gesicht eines Tigers?
Textzusammenfassung:
Geben Sie in fünf Sätzen den Inhalt dieser Geschichte wieder.
Texterstell’ung:
Die hier abgedruckte Geschichte hat Brecht zwischen 1926 und 1930 geschrieben. Der Titel, der nicht vom Autor stammt, wurde nachträglich hinzugefügt. Wird damit die wesentliche Aussage dieses Denkbildes erfasst?
Begründen Sie Ihre Meinung und berücksichtigen Sie dabei auch die Struktur des Textes.
Beschreiben Sie eine typische menschliche Verhaltensweise, die sich für ein solches Denkbild eignen würde.
Durata massima della prova: 6 ore.
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X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
CORSI SPERIMENTALI E PROGETTO “BROCCA” LINGUISTICO
Tema di: LINGUA STRANIERA
TESTO DI ATTUALITÀ – LINGUA TEDESCA
(Comprensione e produzione in lingua straniera)
Siebzig – und kein biÉchen faltig
Ende Januar feierte das Tempo-Taschentuch Geburtstag. Am 29. Januar 1929 wurde das Warenzeichen beim Reichspatentamt in Berlin angemeldet. In den 70 Jahren danach hat das Tempo Produktgeschichte geschrieben wie wenige andere Markenartikel in Deutschland. “Tempo ist nicht nur der Marktführer unter den Zellstoff-Taschentüchern, sondern schaffte es auch, seinen Markennamen als Gattungsbegriff zu etablieren”, lobt Heribert Meffert, Marketingprofessor an der Universität Münster. Wer Papiertaschentuch meint, sagt Tempo, egal welcher Hersteller auf der Packung steht. Vermutlich haben die Käufer deshalb gar nicht gemerkt, daÉ die Marke Tempo selbst dreimal den Besitzer gewechselt hat. Die jüdische Familie Rosenfelder, die sich das Papiertuch ausgedacht hatte, verkaufte in den 30er Jahren an die Vereinigten Papierwerke Schickedanz. Die wiederum verkauften Tempo 1994 im Rahmen einer Sanierung an den Konsumgüterriesen Procter & Gamble.
Bei Verbraucherbefragungen liegt der Bekanntheitsgrad regelmäÉig knapp unter hundert Prozent, Tempo kennt jedes Kind. Und häufig erinnern sich selbst die Omas und Opas noch an die Tempo-Reklame aus ihrer Kindheit. Briefe, wie der eines 71jährigen Nürnbergers, dem ein besonders gel’ungener Slogan aus den 30ern wieder einfiel (“Mit besten GrüÉen und Hatschi, ein häufig Verschnupfter”), sind beim Hersteller Procter & Gamble im Taunusstädtchen Schwalbach keine Seltenheit. Und das ist kein Wunder.
Frühzeitig wuÉten die Tempo-Manager die Macht der Werbung für sich zu nutzen. Bereits 1929 erschien die erste Anzeige in der Berliner Illustrierten mit der frohen Botschaft an die deutsche Hausfrau: “Kein Waschen mehr!” Fortan wurde gereimt und gedichtet, was das Zeug hielt, um der Kundschaft die Vorteile des frühen Wegwerfproduktes nahezubringen. “Das Taschentuch nimm nur einmal, dann endet Deines Schnupfens Qual!” formulierte der Werbetexter des Jahres 1939 nicht ganz uneigennützig. – “Notier Dir in Dein Taschenbuch in Zukunft Tempo-Taschentuch!” reimt die Filmwerbung 1950.
Heutzutage ist die Tempo-Werbung zwar nicht mehr ganz so lyrisch, dafür aber nicht weniger kreativ. Auf Wortschöpfungen wie “nasenweich” und “durchschnupfsicher” ist der Produktmanager besonders stolz. Im Gegensatz zum Englischen und vor allem Amerikanischen sind Wortinnovationen in der deutschen Sprache eher selten. Entsprechend aufmerksam reagiert das Publikum. So flatterte Procter & Gamble umgehend ein Protestbrief ins Haus, als die Tempo-Werbung irgendwann mit dem Attribut “schneuzfest” experimentierte. Eine Schulklasse wies darauf hin, daÉ die Schreibweise laut Rechtschreibreform inkorrekt sei. Etymologisch leite sich der Begriff von “Schnauze” ab, deshalb müsse “schnäuzen” und entsprechend “schnäuzfest” geschrieben werden, korrigierten die jugendlichen Kritiker.
Nicht nur bei der Werbung, auch bei der Produktpolitik müssen die Schwalbacher Manager vorsichtig sein. Einerseits muÉ der Hersteller immer Neues, Besseres bieten, um das Interesse der Käufer wachzuhalten.
Andererseits darf er auch nicht zu viele Experimente machen, damit die Stammkunden ihr Produkt wiedererkennen. Produktmanager Biebernick weiÉ, daÉ die groÉe alte Dame Tempo nur begrenzt Neuerungen verträgt.
Aus: Die Zeit Nr. 3 vom 14. Jänner 1999 (leicht gekürzt)
Textverständnis:
1. Welches nützliche Produkt wird im vorliegenden Zeitungsartikel beschrieben?
2. “Siebzig – und kein biÉchen faltig”. Was sagt Ihnen dieses Wortspiel?
3. Legen Sie dar, wie aus dem Tempo-Tuch ein Markenartikel und aus dem Markennamen ein Gattungsbegriff wurde.
4. Woran kann man den Bekanntheitsgrad des Produktes ermessen? Wie hoch ist der Bekanntheitsgrad des Produktes heute?
5. Wer waren die Besitzer des Produktes früher, wem gehört es heute? Inwiefern hat sich der Besitzerwechsel auf die Qualität des Produktes nicht ausgewirkt?
6. Vergleichen Sie die Beispiele für die Tempo-Reklame: Welche Unterschiede zwischen früher und heute sind feststellbar?
7. Eine Schulklasse protestierte gegen die Schreibweise des Attributs “schneuzfest” und forderte die neue Rechtschreibung ein, nach der das Eigenschaftswort “schäuzfest” geschrieben werden müÉte.
8. Wie beurteilen Sie diese Frage? Haben Sie schon Informationen über die Rechtschreibreform?
9. Hat Ihrer Meinung nach das Tempo-Tuch heute Konkurrenz bekommen, und wie versucht der Tempo-Hersteller den Umsatz zu halten?
Textzusammenfassung:
Fassen Sie den Zeitungsartikel in ca. 10 Zeilen zusammen!
Texterstell’ung:
– Erklären Sie den Begriff “Wegwerfprodukt” und beurteilen Sie die zunehmende Verbreitung von Wegwerfprodukten!
– Entwerfen Sie einen Text, in dem Sie PRO und CONTRA der Verwendung von Papiertaschentüchern darlegen.
Durata massima della prova: 6 ore.
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X04A – ESAME DI STATO DI LICEO LINGUISTICO
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Tema di: LINGUA STRANIERA
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Urlaub in Deutschland wieder beliebt: Das Zugpferd heiÉt Goethe
Reisen und Urlaub in Deutschland ist wieder ein Thema. Seit fünf Jahren kommen kontinuierlich mehr ausländische Besucher, und neuerdings reisen auch die Deutschen wieder mehr im eigenen Land. Die Initialzündung dieser positiven Entwickl’ung kommt von der Deutschen Zentrale für Tourismus (DZT) in Frankfurt, die jetzt offiziell das gesamte Deutschland-Marketing unter einem Dach vereint.
Zum ersten Mal in der Geschichte des deutschen Tourismus ist mit der “neuen” DZT eine zentrale Marketing-Organisation geschaffen worden, die nicht mehr nur für das Ausland, sondern auch für das Inland zuständig ist, und zwar rückwirkend seit Jahresbeginn. So der einstimmige BeschluÉ der 100. Mitgliederversamml’ung Ende Januar in Frankfurt, wo auch der neue DZT-Verwaltungsrat gewählt wurde. Entsprechend den erweiterten Aufgaben repräsentieren vier zusätzliche Mitglieder die Einbindung des überregionalen Inlandmarketing: Bayern als tourismusstärkstes Land stellt den Vertreter der Bundesländer. Für die 16 Landesmarketing-Organisationen wurden Vertreter aus Nordrhein-Westfalen, Thüringen und Hamburg gewählt. Tourismus ist in Deutschland Ländersache. Zum ersten Mal haben sich die Bundesländer bereit erklärt, auf ihr angestammtes Recht für Deutschland-Werbung zugunsten eines überregionalen Inlands-Marketing durch die DZT zu verzichten. Und alle 16 Bundesländer unterstützen die DZT als zentrale Dienstleistungsorganisation in Sachen Marketing auch finanziell.
Ausschlaggebend dafür sind die neuen, pfiffigen und vor allem erfolgreichen Image-Kampagnen für “Neuland entdecken – Deutschland schon dagewesen?” Ein Motiv als Beispiel: greller Raver-Typ, Disco-Atmosphäre, und über dem Ganzen prangt das alte deutsche Wort “Heimatmelodie”. So kann Werbung für Städtereisen aussehen. Alle DZT-Aktionen zielen auf den Endverbraucher und seine Wünsche. So werden neue Urlaubs- und Reise-Pauschalen geschaffen. Und die Vielfalt der kulturellen, kulinarischen und vergnüglichen Angebote findet mehr und mehr auch ihren Niederschlag in den Katalogen der Veranstalter.
So hat sich der Deutschlandtourismus im vergangenen Jahr positiv entwickelt: Von Januar bis Ende November 1998 stieg die Zahl der Übernachtungen im Vergleich zum Vorjahreszeitraum um 2,3 Prozent. 1998 werden insgesamt 34,4 Mill’ionen Ausländer-Übernachtungen und 30 Milliarden Mark Deviseneinnahmen erwartet. Auch die deutschen Gäste übernachteten nach zwei Jahren des Rückgangs wieder öfter (plus 2,3 Prozent) im eigenen Land. In fast allen Bundesländern sind die Besucher-Bilanzen positiv, allen voran liegt Mecklenburg-Vorpommern mit einem Plus von 14,7 Prozent. Auch in den Heilbädern und Kurorten kündigt sich mit leichtem Gästezuwachs eine Trendwende an.
Und die Zukunft sieht durchaus positiv aus: Das Goethejahr 1999 ist jetzt schon ein Renner im In- und Ausland; 130 Veranstalter weltweit haben Reisen auf Goethes Spuren neu ins Programm genommen. So wird Goethe für mindestens 300.000 zusätzliche Übernachtungen und rund 60 Mill’ionen Mark Deviseneinnahmen sorgen.
Aus: SZ Nr. 26 vom 02.02.1999
Textverständnis:
9. Welches zentrale Problem wird im Artikel erörtert?
10. Was ist die DZT? Welche Aufgaben hat sie wahrzunehmen?
11. Wie setzt sie sich zusammen?
12. Mit welchen Initiativen wird für den Inlandtourismus geworben?
13. Welche neuen Wege sollen bei der Werbung für Städtereisen beschritten werden?
14. Wie hat sich der Deutschlandtourismus im vergangenen Jahr entwickelt?
15. Welche besonderen Wünsche der Verbraucher werden durch die neuen Angebote berücksichtigt?
16. Welche Erwartungen hat der Deutschlandtourismus für das Goethejahr 1999?
Textzusammenfassung:
Fassen Sie den Text in wenigen Sätzen zusammen!
Texterstell’ung:
In der Tourismuswerbung werden jedes Jahr neue Ideen entwickelt, wie man immer mehr Gruppen ansprechen könnte. Mit welchen Angeboten versucht man den Umsatz zu steigern?
Was denken Sie über die Verbindung von Kulturtourismus mit Abenteuer und Erhol’ung?
Durata massima della prova: 6 ore.
E’ consentito soltanto l’uso di dizionari monolingue e bilingue.
Non è consentito lasciare l’Istituto prima che siano trascorse 3 ore dalla dettatura del tema.